Maëlys, ayant un léger besoins de vacances de son boulot de druidesse, partie chasser dans la Forêt des Rêves Bleus, un territoire neutre. N'étant pas dans le territoire de son clan, elle ne se ferait sûrement pas harceler par tous un chacun pour régler leurs problèmes. La louve de terre avait suffisamment assez à faire avec cette histoire d'arbres malades, pas besoins d'en rajouter.

Repérant un jeune cerf, Maëlys s'accroupit et s'approcha doucement. Furtivement, elle lui bondit à la gorge, l'achevant assez vite. Heureuse d'avoir trouver une proie aussi rapidement, la louve de terre s'installa près d'un ruisseau et commença son repas.

Ayant senti l'odeur du sang, le jeune mâle s'avança prudament vers le petit ruisseau pour y regarder la scène. La faim le poussa a s'approcher.

- bonjours très chère.

S'assis a bonne distance, rangeant ses ailes comme du monde pour pas trop qu'elles soient dérangeante vu leur grandeur. Le vent balayant sa fourrure, fessant balotter son médaillon qui sonna comme une clochette.

Le temps etait plutôt frais depuis l'arriver de Hairouk. Des courants d'aires passais d'ici et la, fessant sifflotée les feuilles et branches. Hairouk avais aussi sur lui une sorte de sac en bandoulière grisâtre.

- c'est une belle journée n'est-ce pas!?

Il essayait de paraître légèrement subtile vis a vis son attirance pour sa nourriture.

Maëlys sursauta en entendant la voix du mâle. Elle ne pouvait vraiment pas être seule quand elle le voulait ? Portant son regard vers le nouvel arrivant, elle remarqua ses grandes ailes de plumes. Elle renifla l'odeur que le vent frais lui apportait. Un loup de l'Air ? Ou bien du feu avec une ascendance aérienne ? Son odeur semblait étrange. Mais se qui lui dérangeait le plus était qu'il tentait d'être subtil vis-à-vis elle ... ou sa nourriture, au choix.

- Mouais s't'une belle journée ...

Elle prit une pause pour avaler une autre bouchée de son cerf.

- Qu'est-ce que tu veux, le jeune ?

Le jeune male titilla sur place, mais resta assis et abaissa les oreilles et la tete montrant qu'il n'etait guère la pour attirer les ennuis.

- cela fais un bon moment que je ramasse des plantes pour mes soins et...l'odeur de votre repas ma malgré moi attirer ici!

Hairouk détourna la tête, sachant bien que se qu'il demandait n'etait pas bien commode, surtout avec une louve que l'on ne connais même pas. Il osa malgré tout s'avancer a petit pas, de plus en plus prés de celle ci.

- ses un...bon terrain de chasse par ici? Ah...je suis mal polie! Je me nomme Hairouk miss.

Sa queue s'agita doucement de droite a gauche et ses oreilles se redressa sur sa tete, essayant d'etre le moins mal aiser possible.

Le jeune semblais vouloir se montrer docile. Avait-il une idée derrière là tête ? Il disait venir ici pour récolter des herbes dans le coin. Ce Hairouk, comme il disait s'appeler, devait être médecin, ou un truc dans le même genre. Il était vrai que dans cette forêt il était facile de trouver des herbes soporifique ou qui calmait la douleur facilement.

N'aimant pas trop le voir s'approcher, elle arracha une patte arrière de sa proie et l'envoya valser plus loin derrière le nouveau venu, lui signifiant clairement de reculer s'il voulait rester dans le coin.

- J'm'appelle Maëlys. Je ne sais pas si c'est un bon terrain de chasse, vu que je ne sort pas souvent du territoire de mon Clan. J'ai un travail plutôt chargé qui m'empêche de voyager comme je voudrais. J'prenais des vacances en solo,
pour une fois ...

Elle laissa sa dernière phrase en suspens, tentant de lui signifier qu'elle aurait aimée ne pas être dérangée.

ses oreille se descenda un peu.

-je vois...mille pardon d'avoir ete ennuyeux!

Hairouk se leva, fit une révérance devant la louve, rouvri ses immense ailes et partie. Il chercha de nouveau une proie plus simple. Volant au dessus d'une partie de la foret qui etait a decouvert, il descendant en planant et fini par se laisser tomber sur un lapin plus bas. Mission accomplie pour le grand loup qui ramassa sa petite victime et lui abréga ses souffrance.

- bon appétit moi meme!

Maëlys regarda la loup ailé la saluer avant de s'envoler. Elle regarda son vol en réfléchissant. Ce jeunôt partait sans son présent ? Quel éducation ! Cela ne se faisait pas de refuser un cadeau offert par un représentant des dieux ! En même temps, elle ne lui avait pas dit son rang, donc il avait pu se méprendre. Mais il était sûre que si ce Hairouk revenait dans le coin, la louve de terre le lui ferait savoir.

En parlant du loup, sans mauvais jeu de mot de sa part, Maëlys vit le loup ailé revenir un peu plus loin, fondre sur une petite proie pour ensuite s'installer pour la manger. Elle lui lança, assez fort pour qu'il l'entende :

-Comme ça, on refuse les cadeaux des représentants des dieux ?

Le jeune loup soupira, avant d'ouvrir la gueue et de souffler une decharge electrique sur le lapin qu'il avait chasser, se qui le "grilla". Puis il tourna la tete vers la louve.

- vous n'aviez pas l'aire ravie de men faire cadeau je vous les donc laisser! Et on va s'entendre que je ne pouvais pas savoir que vous etiez une druidesse...

Il la regardait de la tete au pattes avant de penser "super je tombe sur une druidesse avec un égo, ses bien mes chances sa"

- alors voyez vous je suis aller me chercher moi même un casse croute.

Justement en parlant de bouffe il s'entrepris de manger son lapin griller qui se degustait facilement ainsi. Hairouk avais remarquer que la viande griller se digérait mieux et avait un très bon goût. Il s'amusait a trouver toute sorte de chose pour accompagner ses repas, jouant a faire les fin palais. S'était bien la seule autre choses qu'il fessait a pars etre médecin.

Maëlys regarda le mâle "griller" sa viande. Elle fut surprise de voir un loup faire cela, mais ne le laissa pas paraître. Quelle idée de faire ça à de la viande ? C'était bien meilleure cru ... Mais bon, la louve de terre n'était pas sa mère, alors le mâle ferait bien se qu'il voudrait avec sa nourriture.

- Oui je suis druidesse, mes marques au visage le prouvent, car je suis née pour ce rôle. Mais puisque tu n'es pas de mon Clan, il peut être normal que tu ne saches pas reconnaître les marques des vraies élues des dieux chez les Terres.

Maëlys prit une pause, prenant le temps de détailler les marquages d'Hairouk.

- D'après se que j'ai compris, les dieux marquent leurs "élus" dès la naissance. J'ignore les marquages pour les Airs, ou les Feux, dur à dire de quel Clan tu es vu ton odeur, mais je ne crois pas que tu sois un élu pour l'un de ces Clans. Sauf si tu me dis que tu as eu une vision des dieux dans ta première année de vie, auquel cas serait différent.

Elle continua de manger son cerf, attendant une réponse.

Le jeune male poussa un long soupire claire et net.

-je me contre fiche des dieux! Pour moi la pratique est le sule vrai fais en se monde! Je ne prirai pas pour soigner une patte casser je la repars point barre! Je n'est jamais été aider par les dieu au moment ou j'en avais besoin! Alors je les est enterrer avec le reste! Ils sont inutile!....surtout si ils prenne pour élu des loup ayant un égo surdimentionner =_=

Le male fini sa nourriture et se leva de toute sa grandeur. Il se secoua et s'étira, avant de reposer des yeux déni de toute interais vis a vis la louve.

-et donc tu aura compris que je me fiche de savoir si je suis un élu ou non! Que je sois aire ou feu...**il se disa alors qu'il comprenait presque l'alpha du feu de vouloir heradiquer s'eu de la terre si il sont tous comme elle...beaucoup trop d'égo**

Maëlys avait regarder le mâle tout le long de son discours d'un air indifférent. Si ce Hairouk ne comprenais pas l'importance des dieux, et bien t'en pis pour lui. Certes, les dieux ne faisaient pas tout, mais de là à les dénigrer ? Mais bon, la plupart des médecins étaient comme lui : des ignares en religion préférant les faits concrèts plutôt que les créateurs divins.

Lorsqu'elle vit le mâle se mettre debout, la louve de terre fit de même. Maëlys était bien plus petite que le mâle, et cela paraissait grandement.

-Il est clair que tu n'es pas un élu à voir tes réactions, sinon je plains ton Clan. Sois chanceux que je sois conciliante, d'autre que moi t'aurais probablement forcer à te convertir ou du moins t'obliger à avoir un minimum de respect pour eux.

Maëlys agrippa alors une patte de son repas et s'éloigna du médecin. Elle en avait assez eu avec lui.