La louve originaire de la terre c’était levée avec les premiers rayons du soleil. Elle trouvait cela très beau et elle avait apprécié de sentir les premiers rayons du jour sur sa pelisse blanche. Elle avait marché un petit moment avant d’arriver au marais guidé par une odeur de mort. Elle avait rapidement trouvé quelques corneilles autour du cadavre d’un animal des marais. Elle avait donc mangé un peu en laissant leur place aux corbeaux. Le respect entre elle et les autres animaux lui permettaient de vivre simplement et bien avec n’importe quelle espèce.

Quand elle eut finis elle se remit en marche, sautant les flaques de boues et les parties marécageuses trop profondes où elle risquait de s’enliser. Elle prenait également plaisir à grimper sur les racines des grands arbres qui se mouvaient pour lui permettre de passer sans danger. Elle continua sa marche un long moment avant de passer sous un saule pleureur. Mais quand elle tenta de s’éloigner elle sentit ses cornes lui faire mal de manière violente et subite. Elle recula alors avant de voir que ses bois étaient emmêlés aux grandes branches de l’arbre. Elle se mit à secouer la tête tandis que l’arbre chercher à se dépettrer d’elle. La douleur se fit assez importante et elle poussa un couinement.

« S’il vous plait arrêter de tirer, vous vous faites autant mal qu’à moi »

Elle avait couiné cela à l’attention de l’arbre qui avait laissé retomber ses branches, la femelle avait alors reculer correctement et c’était assise. Elle s’était alors mise à chercher une solution, mais l’arbre était assez isolé des autres alors cela était difficile de demander de l’aide à une autre plante. La femelle prit alors une grande inspiration.

« Y a quelqu’un ? OHEH ? Je suis coincée… S’il vous plais ! Si une âme charitable passe par là aidez moi ! »

Elle attendit une réponse mais aucune ne lui parvint. Elle soupira alors longuement et recommença à s’agiter avant de couiner d’avantage car les branches avaient finis à s’emmêler à sa queue. Alors finalement elle s’arrêta avant de voir une large silhouette masculine au loin à travers les autres branches du saule.

« Heu… S’il vous plais ? Vous pourriez me donner un coup de patte ? »

Pourvu que l’individu l’ai entendu et qu’il soit enclin à l’aider, sinon elle allait resté planté là jusqu’à ce qu’une biche ou un cerf de la harde remarque son absence et ne la cherche. L’animal risquait de mordre les branches pour les casser, mais si personne ne l’aidait avant ça serait la seule solution qu’il lui resterait. Néanmoins elle n’avait pas envie de suivre cette option et espérait que l’individu accepterait de lui venir en aide.

Calme et digne comme toujours, la belle blanche avait attendu de savoir si la personne était enclin à lui venir en aide ou pas. Il sembla que oui en vu de la réponse du loup. En vu du timbre de sa voix elle considéra rapidement qu’il s’agissait d’un mâle. Elle imaginait très mal une femelle avait une voix si grave. Elle baissa les oreilles quand il annonça qu’il devrait couper des branches de l’arbre. Elle n’en avait pas du tout envie. Ça lui faisait de la peine rien que d’y songer. Mais elle ne broncha pas et le laissa faire tandis qu’elle écoutait les plaintes de son ami feuillus. Quand le loup eut enfin terminé elle se releva avant de s’ébrouer avec une élégance presque dérangeante. Puis elle posa son regard aveugle sur le mâle et hocha la tête.

« Je vous remercie. »

Puis elle se tourna vers l’arbre, les oreilles à l’horizontale et les queues légèrement basses. Elle se sentait responsable de sa souffrance nouvelle. Et quand il affirma qu’elle n’y était pour rien elle secoua doucement a tête avant de fermer les yeux.

« Oh si je suis responsable. Pardonne moi mon ami. J’espère que tes branches repousseront plus belles que les précédentes. »

Elle espéra alors que le mâle ne la prendrais pas pour une dingue. Elle se tourna alors vers lui, ses queues se mouvant avec lenteur dans son dos. Elle s’approcha de lui, chacun de ses mouvements fluides et calmes dévoilant sa grâce et sa beauté. Elle huma l’air et reconnu l’odeur d’un loup de l’eau. Il fallait qu’elle le remercie en bonne éduforme et qu’elle apprenne son prénom pour ne pas l’oublier et pouvoir lui rendre son aide.

« Encore merci, puis vous demandez votre prénom ? Moi je me prénomme Hadanalith, mais vous pouvez m’appeler Hada. »

La femelle avait parlé de sa voix douce et tranquille dans laquelle se mêlait une légère pointe de timidité. Elle était un peu mal à l’aise qu’il l’ait vu dans une situation aussi peu avantageuse voir même gênante. Mais elle n’avait pas trop eus le choix que de se laisser faire et de se montrer dans cette position.

La femelle blanche sentit très rapidement la gêne du mâle qui se trouvait en face d’elle. Mais elle ne fut pas capable de la comprendre. Pour elle il était normal de remercier une personne qui lui était venue en aide. Elle se voyait très mal recevoir de l’aide et partir comme une voleuse. Elle sentit bien que le loup l’observait et l’espace d’une seconde elle souhaita savoir ce qu’il pouvait bien penser d’elle. La belle blanche n’avait jamais vu son reflet dans la clarté de l’eau, elle ne savait donc pas si elle était jolie ou au contraire hideuse. Elle ne savait pas si elle avait une tête de folle, ni quoi que ce soit d’autre. Elle sentait néanmoins sa chevelure emmêlée et décida de s’asseoir avant de commencer à se la démêler avec ses griffes.

La tête légèrement de profile la femelle écouta le mâle tout en agitant les oreilles. Elle hocha doucement la tête quand il souligna qu’elle venait de la terre. Elle ne désirait pas parler de se sujet, elle commençait à se sentir gênée et elle avait peur de finir par faire une idiotie. Néanmoins elle l’écouta jusqu’au bout et quand il parla des branches de l’arbre elle leva son museau vers le saule qui lui caressa la joue d’une de ses longues branches.

« Ce n’est pas votre faute. Simplement je n’aime pas entendre la nature souffrir »

Elle retourna son visage vers le mâle en inclinant légèrement son beau museau. Puis recommença à se brosser les cheveux tout en écoutant la suite de ses paroles. Ainsi donc il se prénommait Gaor. Elle comptait bien retenir son prénom. Un clanique de l’eau, voilà pourquoi il était aussi social. Elle avait croisé plusieurs feu et n’avait pas terriblement envie de réitérer l’expérience. Selon elle les airs eux étaient assez neutres, elle pouvait parler avec certains d’entre eux, mais pas avec d’autres. Ensuite il y avait les eaux, et il semblait qu’ils n’étaient pas désagréables. Elle avait même appris que Lester avait squatter chez eux un long moment, ils ne devaient donc pas être particulièrement méchants. Après avoir écouté Gaor elle se souvint qu’il l’avait traqué toute l’après midi, dans quel but ?

« Pardon de vous poser cette question, que vous trouverez peut être impertinente mais, pourquoi me traquiez vous ? Vous cherchiez une ancienne clanique de la Terre ? »

Elle leva le museau vers lui, son regard bleu délavé se posant sur le mâle tandis que le vent agitait ses longs fils d’araignées qui lui servaient de cheveux. La louve blanche était curieuse de comprendre pourquoi donc le mâle avait suivit sa trace. En tout cas en vu de l’erreur qu’il avait fait, soit il était mauvais pisteur, soit il n’avait pas croisé l’autre clanique de la terre pendant longtemps.

Hadanalith avait gardé son calme comme à son habitude. Ses oreilles dressées elle attendait une réponse du mâle. Elle l’entendit alors s’asseoir et écouta ce qu’il lui raconta. Ainsi donc ce mâle venait lui aussi du clan de la Terre et sa sœur l’avait quitté. Bien, et lui aussi puisqu’il était devenu un loup de l’Eau. Elle ferma les paupières et souffla longuement avant d’agiter ses queues dans un signe d’écoute et de compréhension. Elle secoua cependant lentement mais bien négativement la tête, ses oreilles se mettant à l’horizontal. Elle s’en voulait un peu de ne pas pouvoir aider le mâle car elle appréciait d’aider les autres individus. Mais elle ne savait pas comment venir en aide au loup qui se tenait en face d’elle.

« Je suis désolé que ça soit moi que vous ayez trouvé plutôt que votre sœur. Bien que vous affirmiez ne pas regretter votre erreur j’imagine que vous êtes tout de même un peu déçu ? »

La femelle entendit le plissement de ses babines comme si elle souriait alors elle dressa les oreilles, contente de savoir qu’il appréciait un minimum sa présence. Mais alors qu’elle pensait à lui la femelle songea à ce qu’elle était venue faire à la base. Elle n’avait pas encore manger convenablement, elle avait encore relativement faim. Elle détourna un peu la tête et se racla la gorge avant d’agiter doucement les oreilles.

« Hum, excusez moi, vous n’auriez pas trouver des cadavres d’animaux dans le coin ? »

Elle se releva et s’approcha un peu de lui, elle espérait que ça ne le mettrait pas mal à l’aise. Ses queues se mouvant dans son dos, elle renvoya ses longs cheveux d’ébènes en arrière pour dévoiler son beau visage. Puis elle baissa légèrement son museau, en signe d’une certaine soumission envers le mâle qui devait sans doute être dix fois plus lourd et plus puissant qu’elle.

« Vous allez sans doute me trouver étrange, mais en fait voyez vous je ne chasse pas. La violence et la mort sont des choses que je ne supporte pas. Alors je me nourris exclusivement d’animaux déjà décédés… »

Elle espérait qu’il ne se rirait pas d’elle ou qu’il ne la rabaisserait pas comme tout les autres à qui elle l’avait dis. Mais le loup lui semblait gentil, alors peut être qu’elle ne le jugerait pas à ce sujet. Du moins elle l’espérait profondément car elle ne voulait pas être à nouveau une paria et traiter comme une louve indigne folle et crasseuse car elle ne sait pas pratiquer la chasse qui est pourtant essentiel à la survie d’un loup.

La femelle attendait la réponse du mâle qui semblait en train de réfléchir. Mais à sa question elle avait capté son étonnement et avait baissé à la fois les yeux et les oreilles. Oui il devait vraiment la prendre pour une barge et se dire qu’elle était folle de ne pas avoir apprit à chasser comme tout le monde. Mais quand le femelle pensait à tuer elle revoyait quelques images marquantes de sa vie et s’arrêtait brusquement avant de se cacher par honte et dégoût d’elle-même. Non il n’y avait pas à dire, elle détestait profondément l’idée de chasser et de tuer un animal quelconque. Elle préférait s’occuper des petits qu’elle trouvait et protéger la vie plutôt que de la détruire. Mais elle doutait qu’un loup de clan qui devait être guerrier ou espion puisse comprendre son point de vue. Elle ferma les yeux et soupira longuement avant d’entendre son début de remarque.

Elle dressa les oreilles, les corbeaux elle les avait vu, elle avait partagé un bout de repas avec eux, mais leur avait laissé des restes pour qu’ils puissent finir convenablement leur repas. La louve attendit donc une suite avant d’entendre parler de Lester. Elle eut un sourire doux qui vint illuminer son visage déjà relativement agréable à observer.

« Tu connais grand frère Lester ? »

Elle secoua la tête et secoua ses petites pattes avant de faire rouler ses épaules sous son pelage. Elle hocha la tête, bien sur qu’elle était capable de le suivre. Elle agita joyeusement ses queues. Pour une fois qu’on la laissait pas en plan, qu’un loup était d’accord pour la laisser l’accompagner. Elle était ravie de l’idée et hocha vigoureusement la tête.

« Bien sur que je suis capable de te suivre ! Tu me prends pour qui, une loupiote ? »

Elle eut un sourire joueur et amusée. Elle avait très envie de courir un peu, ça aller lui dégourdir les pattes après qu’elle soit restée assise et coincée pendant de longues minutes. Elle avait hâte de courir après le loup, c’était un peu comme une course poursuite amusante, un petit tour sympa. Même s’il semblait à la fois pressé et inquiet elle comptait l’aider une fois à destination. Elle espérait du moins qu’elle en était capable, ne serait-ce qu’un minimum ?

La louve blanche attendait le départ de Gaor. Il avait sans doute du la trouver ridicule de par sa réaction. Mais il n’avait fait aucune remarque. Finalement il lui avait même dit ne pas la voir comme une loupiote. Fort bien, elle lui fit un sourire doux et agita les oreilles. Elle le prenait comme un compliment, mais pour elle la phrase était ambigüe, la voyait-il comme une louve ordinaire et adulte, ou comme une demoiselle relativement belle, ou comme une solitaire qui cache son jeu derrière des airs charmeurs ?

Puis finalement il s’élança et la femelle le suivit au galop. Finalement dans le marée le rire de la femelle se fit entendre. Elle dépassa rapidement Gaor en s’aidant des branches et des racines qui lui faisaient le passager. Le femelle s’arrêta à l’orée du marée et à l’entrée de la forêt. Elle leva le museau et repéra rapidement l’odeur de Lester. Gaor la rattrapa facilement et la femelle lui fit un sourire doux et complice avant de s’avancer vers Lester. A sa respiration elle n’avait aucune difficulté à comprendre qu’il pionçait comme un louveteau ce qui lui fit avoir un sourire nostalgique. Puis, la question de Gaor lui parvint aux oreilles et elle se redressa vers lui. Elle baissa alors les oreilles, ainsi il désirait partir tout de suite alors qu’il venait à peine de se rencontrer ? Dommage, elle l’appréciait déjà bien elle.

« Oui bien sur »

Elle avait répondu à contre cœur, elle n’avait pas du tout envie qu’il parte. Elle l’aida à s’arnacher convenablement. Elle dû frôler la pelisse de son buste pour cela et enregistra alors rapidement son odeur dans un coin de sa conscience. Puis quand elle eut terminé de l’aider elle se recula et s’assit avant de pointé la direction du camp de l’Eau.

« Si tu prend à gauche au niveau du grand hêtre tu passeras par un chemin plus plat. Il est rarement utilisé par les loups de ton clan parce que c’est le territoire de ma harde. Mais tu as mon odeur alors tu ne devrais pas avoir de problème pour passer. C’est plus rapide pour aller au clan de l’Eau, et moins dangereux car il y a beaucoup moins de solitaire qui vont »

Car les solitaires qui n’ont pas comprit que la nature défendait le territoire de la femelle quand elle s’y trouvait on finit par croire que cette partie là de la forêt était hanté par quelque chose. Cette bande de nigaud l’avaient fait rire en lui disant de ne pas aller là bas parce que les arbres étaient vivants et agressifs. Mais en même temps ça n’était pas totalement faut vu que la nature la défendait parfois contre son grés. Mais elle savait aussi que Gaor et Lester passeraient sans problème, d’abord la harde et la nature connaissaient son affection pour Lester, ensuite Gaor avait un peu de son odeur sur lui, alors il devrait pouvoir partir sans problème même si elle n’avait pas du tout envie de le voir s’éloigner. Elle avait peur qu'il parte, l'oublie, et ne revienne jamais...

La femelle avait sentit le regard de Gaor sur elle tandis qu’elle le paraît pour le voyage de retour. Elle entendait aussi bien la respiration du loup des cavernes que celle tranquille et profonde de son cher Lester. Elle espérait d’ailleurs que le mâle qu’elle venait d’arnacher ne serait pas trop dur avec son ami quand celui-ci viendrait à sortir de son sommeil. Puis en entendant les demandes de Gaor la femelle se mit à rougir mais elle hocha la tête avant de s’approcher de lui.

« Je serais ravie de t’accompagner »

Elle eut un sourire à sa proposition de monter sur le chariot, mais elle secoua négativement la tête. S’approchant du mâle elle frôla celui-ci de sa corne tandis qu’elle rougissait légèrement face à ses remarques. Il pensait donc à tout, même à elle, alors qu’ils se connaissaient à peine ? Cela la touché, elle ne pouvait pas être autrement qu’agréablement surprise de sa réaction. Il semblait vouloir la protéger en disant qu’il ne voulait pas qu’elle se blesse. C’était gentil de sa part. Elle lui fit un fin et doux petit sourire tandis que ses queues battaient l’air dans son dos.

« Je ne monterais pas sur la carriole, ne pas avoir de contact avec le sol me dérange. Mais merci de ta proposition, c’est gentil à toi. »

La femelle aurait néanmoins besoin de lui, avec l’ombre qui s’installait les arbres y verraient moins bien. Alors si elle pouvait s’appuyer sur lui ou compter sur lui pour la diriger elle en serait très heureuse. Pour poser sa question elle agita alors doucement les oreilles et lui fit un fin sourire.

« Par contre, si tu veux bien me diriger au mieux pour combler le manque de la nature j’en serais ravie. »

Elle serait ravie que le loup lui vienne en aide pour avancer à ses côtés. Elle était d’ailleurs très heureuse et enjoué e à l’idée de pouvoir marché prêt de lui. Elle ignorait pourquoi mais elle se sentait étonnement bien à ses côtés.

Hadanalith marchait contre Gaor qu’elle remerciait de ne pas aller trop vite. Il lui décrivait le paysage avec tant de détails qu’elle n’avait pas le moindre mal à se l’imaginer. Ça lui faisait plaisir que le loup soit aussi attentionné avec elle. Son petit cœur de femelle battait la chamade tant elle était touchée par le canidé à ses côté qui prenait soin d’elle. Elle trébucha une ou deux fois mais Gaor la rattrapa sans mal et lui permis de rester sur ses quatre pattes. Elle sentait l’odeur de sa harde qui se rapprochait et savait donc qu’elle allait devoir quitter le loup, mais elle n’en avait pas tellement envie.

Alors quand il s’arrêta et qu’elle sentit l’odeur du cervidé à quelques mètres, la femelle baissa les oreilles. Elle écouta Gaor avec une boule dans l’estomac et de la tristesse dans l’âme. Elle aurait aimé le suivre, mais elle ne le pouvait pas. Elle poussa alors un soupir et passa son museau dans l’épée pelage du loup qui se tenait prêt d’elle

« Merci pour ce moment Gaor, j’ai hâte de te revoir »

Et elle était bien capable de l’attendre. Elle lui donna un petit coup de langue au coin du museau avant de se détourner de lui. En quelques bonds agile elle monta sur un massif rocher à droit du chemin. A côté d’elle se tenait un cerf à la ramure magnifique qui l’accueillit d’un coup de museau auquel elle répondit. Mais alors que le cervidé commençait à partir elle se retourna vers le chemin et aboya pour attirer l’attention de Gaor.

« Bon retour Gaor, a bientôt »

Elle se contenta de ça avant de partir, disparaissant dans le bois à la suite de son chef. La femelle allait retrouver sa place au milieu des jeunes cerfs. Elle allait pouvoir dormir contre eux, et entendre leur brames dès le matin pour réveiller tout le troupeau. Mais elle comptait bien chercher Gaor de temps en temps, histoire d’aller l’embêter dès qu’il passera prêt de chez elle.